apoésie
Le noir du smoking des noceurs blancs est comme l eclat de l'ombre à l'ambre.
Quand nos distances se désirent c 'est les vecteurs de la commuication qui nous réunissent.
D'une plongée dans les eaux bleues d'un imaginaire lagon, nait une envie de colocation.
Quand l' antre bleu se fait atelier d'artiste c'est Claudel et Rodin qui jouent de la clarinette.
Sur un air jazzy, naissent les volutes de fumées de nos deux cigarettes unies en un seul souffle pour nos levres accolées.
Le maitre ennonce la dictée de mots tourneboulés
Un volcan illusoire, d illusions retrouvés,
fusionne nos deux corps
comme des aimants attirés nord sud.
La direction de mes envies gravitent
autour de ton grain de peau.
La fée violette danse sur des airs tsiganes.
Le poète lunaire a perdu la rime en apesanteur.
L'aimant amant aimé surf sur des rouleaux de l'âme.
Ainsi une respiration ,un souffle, de la buée,
Arriver à une rytmique respirée,
A un tendre apaisement rêvée,
Loin de l'asthme dégénèré.
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