plane (i) sphère
La tragédie comme combat de vie qui vaut toutes les peines. Un
pas devant l'autre à perpétuité. Inéluctablement les fils se tissent, de quai
de gare, en bistrot où en coin de rue. L'inconnue et l’inattendue tombent à
foison comme les feuilles où s'écrie la vie à l encre rouge carmin qui fait
tanguer le navire au rythme des pulsation de l'aorte. Les rencontres se font
perpétuelles dans ce patchwork que l'on tisse à partir de nos choix comme
des points de croix. Une maille en avant, une maille à l’envers, il n y a que
l'enfer qui m'ailles. Quoiqu'un costume trois pièces taille bien plus. Le
survitaminé, d acides aminés au petit déjeuner, pour une anima animé comme les
ailes de l albatros qui se déploieraient cherchant toujours les meilleurs
alizés.
merci anne pour le montage texte image