13 février 2008
première fois
Dans ce couloir de métro tu es apparu,
Comme celle que l'on attendait après mon arrivé,
Tu marchais vers nous mon impromptu,
Mes sens se mirent peut être déjà à dériver.
Nous fumes assis à cette table,
L'un assez éloigné de l'autre.
Ton souire déja comme une fable,
J'ai l'image des douzes apôtres.
Quand tu commis ta premiere maladresse,
Ton regard toujours aussi pétillant,
Je savais que je ne m'étais trompé d'adresse
Pour refaire naître mes joies d'antan.
Publicité
Publicité
Commentaires
Z
L
Z
A
L